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De : Narwa Roquen Date : Jeudi 10 mai 2007 à 16:33:51 | ||
« Car je l’attends, ce soir, à Samarcande... » Carpe diem, pauvres mortels, car demain n’est jamais certain. J’aime bien l’intuition du personnage, prescience tout à fait plausible malgré le banal du quotidien « des funérailles ne seraient pas plus calmes ». Puis à petites touches, le portrait de la Mort avec son cortège de symboles, la montre, la couleur noire, le chat, les ciseaux, le baiser... La panique avant, le calme après. C’est un peu conventionnel, mais c’est bien écrit. Un petit détail « musical » : primitive et instinctive. Deux « ive ». Je préfèrerais primale et instinctive, ou mieux encore instinctive et primale ( bonjour Mr Gere !). Et une question : pourquoi « un mois de liberté »? La Mort l’attend une fois par mois ? Un détail a dû m’échapper... Narwa Roquen,qui carpe diem tous les jours Ce message a été lu 7194 fois | ||
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