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Mais tais-toi donc !

De : Lomega

Date : Mercredi 28 mai 2003 à 01:06:30

J'en ai le cerveau qui bouillonne mon pauvre. Mais que veux-tu depuis que je deviens intelligent je vois les choses différemment. Trève de plaisanterie. Mon sujet était censé être totalement sérieux et pas... "presque".

Lomega, pourquoi les oiseaux volent alors qu'ils sont constitués de plumes, alors qu'un oreiller quand tu le lances... Hein Pourquoi ?

Ce message a été lu 4094 fois

Réponses à ce message :

Dexius Mac Walls 2003-05-28 01:44:10	Euréka	Détails
	Parce que les zozios ils battent (pas frapper,Zog) des ailes (vachement bon avec une petite sauce en amuse-gueule..euh pardon le naturel) alors que les oreillers ils battent pas des coins. Et pis si ça vole, c'est le diner qui s'envole (dicton trappeur). Dex, chom chom gulps Ce message a été lu 4444 fois

Estellanara 2003-05-28 21:58:33	Réponse simple	Détails
	Un oreiller ayant en moyenne moins de cervelle qu'un moineau, il ne pense pas à remuer les plumes. Est', il suffisait de demander. Ce message a été lu 4289 fois

Mélophage 2003-06-09 04:55:18	Après les salsifis sanglants, les oreillers	Détails
	Oh non, nul jeu de mots avec sans ... ne viendra obscurcir de sa trivialité ce message poli. Tout cela n'est que mauvaises pensées de votre part (et pensée de jeu de mots foireux au dernier degré de la mienne). Bref Les oreillers ne sont en rien d'inertes larves, sans pensée. Tout ça n'est qu'apparence. De ma défunte enfance, j'ai appris qu'ils tombaient car fiers et altiers, refusant un envol griffé de mains humaines. Et trop veules, aussi, pour oser traverser poussières et plafonds. Les oreillers sont des guetteurs, des esprits cousus au creux de peaux d'anges; des gardiens impuissants, mais non moins cérébrés -quoique pas en matière. Ne les méprisez pas, les cauchemars qu'ils couvrent pourraient leur échapper... Quant à Dieu, sa présence ou absence, non seulement m'est inconnaissable, mais de plus, ne m'interesse pas spécialement. Ma question étant : que changerait la présence d'un être apparenté, quand on ne connaitrait que sa présence ? Comment faire la part de sa volonté et des "artifices", et finalement, pourquoi lui obéir? Reste la croyance possible sans aliénation, peut être ; reste qu'elle est rapport avec une immense incertitude - à mon sens -, par essence importante ; donc "cloisonante" ? Pas forcément plus que n'importe quel "repère" - ni moins "nécessaire" à l'individu - pas spécialement dans un sens péjoratif, mais la question qui se pose alors est le rapport au monde et à soi (pour moi tjs) : importance accordée à son égo, son être individuel (que ce soit à travers une "dominance de la création" ou par occultation de soi au profit d'idéaux, d'autres...), "règles", mais au final rien dans cela qui soit spécifique à la religion. Ai je loupé un coche, ou est ce finalement si semblable aux idéologies non religieuses ? (Ici on me rétorquera sans doute qu'une divinité est par définition infaillible, mais l'apostasie existe au même titre que les reniements d'idéaux, qui eux aussi peuvent être considérés comme Vérité. Même en cas de croyance en une divinité, sa "bonté" n'est pas donnée d'avance, cf les dieux "différents" décrits par Narwa Roquen.) Mélophage, troll précheur, neurone errant, parenthésiste. PS : pardon si certains passages sont confus / peu compréhensibles (pour la seconde partie, l'avertissement quant aux oreillers est clair et sans équivoque aucune ^^ ), mon neurone se tord devant ces questions si peu... trolles) Ce message a été lu 4694 fois

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