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 Commentaire Maedhros, exercice n°123 Voir la page du message Afficher le message parent
De : Narwa Roquen  Ecrire à Narwa Roquen
Date : Mardi 15 octobre 2013 à 23:05:35
Encore un texte ouvert sur l’infini et qui nous balade aux confins de l’espace et du temps... Si vous ne vous appelez pas z653z, chers lecteurs, je vous conseille une 2° voire une 3° lecture...
La première partie , SF pur jus, est aussi fantastique que poétique. Mention spéciale pour les vingt premières lignes qui m’ont coupé le souffle ! L’idée maîtresse, que je ne spoilerai pas, est tout à fait originale, et en même temps parfaitement cohérente. C’est la fin d’une ère, la fin d’une histoire, et les quelques survivants sont condamnés à errer pendant mille ans de solitude en cherchant les petits cailloux blancs semés par un Grand Poucet disparu, à travers une technologie époustouflante.
La deuxième partie semble être la suite de la première, en tout cas un focus sur une des survivantes dont le nom même suggère que la musique est le chemin qu’elle doit suivre. Avec un aplomb effronté, voilà que tu nous parachutes dans le Vienne du 18 ° siècle – si, si, culotté ! Bien écrit, bien décrit, sympathique... mais gonflé ! Et puis l’hypothèse de Milos Forman m’allait bien, à moi : le gentil Mozart, le méchant Salieri... Voilà que tu y substitues une théorie !!! c’est à peu près le seul adjectif qui me vienne : !!! Lecteurs, ceci est un avertissement : un texte de Maedhros se lit assis, et sans rien manger ni boire. Sinon vous pourriez bien tomber à la renverse ou vous étrangler de surprise devant l’imagination iconoclaste et néanmoins musicale de ce vagabond intergalactique et qui plus est impénitent.
Aucune des deux consignes n’a été respectée. Une prochaine fois, peut-être ?


Bricoles :
- ... les hommes rentrèrent... un voyage sans retour : même si pour la plupart il fut sans retour, la presque juxtaposition des deux termes contradictoires me gêne un peu
- L’Espace demeurait silencieux ... les hommes demeuraient seuls
- Pures et fraiches : fraîches
- Leur existence était quasiment éternelle mais ils se contentèrent : se contentaient ( verbe d’état, comme « était »
- On peut discuter sur « ils ne désirèrent plus rien » : je dirais : « petit à petit, ils cessèrent de désirer » ( la notion de temps introduit le passé simple), ou « désiraient » (état)
- ils quittaient la scène : Ils
- il sut qu’elle était sa véritable mission : ou « quelle » ?
- quoique la cause en était différente : en fût
- il forma quelques disciples qu’il choisit... qu’il conduisit... : et les conduisit
- à quoi sert le solfège et les accords : servent
- comme masqués par un rideau de brume, des étendues : masquées
- C’est ni beau ni laid : ce n’est
- Elle remarque aussitôt que certaines étaient masquées : sont ou ont été ( texte au présent)
- La caresse ... sur sa peau nue : son vêtement a des manches longues : jambes nues ? visage ?
- Celui qu’elle connait : connaît
- CHIR 1 aurait heureux : été
- Cela parait si naturel araît
- Certains univers s’accordaient quelques licences : s’accordent
- Do-Dièse se laisse emportée : emporter
- Il se passe une main sur son front : ou bien : « il passe une main sur son front » ou bien « il se passe une main sur le front »
- La flûte enchantée est une leçon : j’aurais mis des majuscules et / ou des guillemets
- Tamino et de Pamina : faute de frappe
- Ces excursions dans le Monde du Rêve... de nouvelle incursion : ce ne sont pas tout à fait des synonymes
- Par ailleurs, sur le plan historique, tu fais dire à Mozart : « J’ai des frais. Ma femme, mes beaux-parents ! » Franz Fridolin Weber, le père de Constance, est mort en 1799, soit trois ans avant le mariage de sa fille...


Encore une histoire ébouriffante ! Merci de nous avoir donné l’occasion de réécouter Mozart, et peut-être d’avoir donné envie aux plus jeunes de découvrir cet incroyable génie.
Narwa Roquen, lente mais pas oublieuse


  
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