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De : Maeglin  Page web : http://Maeglin Date : Jeudi 28 janvier 2010 à 13:19:05 | ||
Arrêtez de faire le titre! D'ailleurs le titre ne respecte pas la consigne, c'est donc un titre pitre C'est une nuit d'hiver, une nuit purpurine Où les cieux semblent lourds d'étoiles inconnues, Où l'ombre des mystères y rôde presque nue Esprit en négligé d'une soie célestine Double du spectre lent de ces pensées ondines Je plonge en un cosmos et mon corps, dévêtu Se noie en des mers troubles, pour un trésor perdu Que cette terre pleure et que mon coeur devine Cet exil où je meurs d'un insolite oubli J'y évoque, stérile, des fictions in-finies Ici où l'univers résonne triste et froid Vous étiez le premier et voici que vous n'êtes Plus qu'un espoir déchu et l'écho d'une lettre Sommes-nous loins du monde où vous fûtes le roi? ______________________ Je sais que vous adorez mon style clair et la limpidité de mes idées... voici donc de quoi il s'agit réellement et pour ceux qui avaient cerné le truc, un café est offert en terrasse à Aix-en-Provence: Ce sonnet plutôt réussi narre le désespoir d'un homme ayant mis le pied sur une lointaine planète où (c'est le truc génial) la particularité est l'inexistence de la lettre A. On récapitule: - de la poésie type sonnet (trompette) - de la science fiction, mode onirique - de l'absence de A (en veux-tu? Envoie l'A) Ce message a été lu 6940 fois | ||
WA 71+72, parce que je suis pressé et que ça m'amuse
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